Cette année, pour Noël, j’ai reçu une liseuse kindle, la liseuse officielle d’amazon et, surtout, une des moins chères du marché (voire LA moins chère ?) Je n’avais pas besoin de clavier virtuel ni de super wi-fi intégré pour surfer sur le net. J’ai déjà un ordinateur chez moi, et il me suffit !
D’où kindle.
Le kindle est donc léger et maniable. On peut tourner les pages d’une seule main, et autant par la droite que par la gauche (les boutons sont doublés) ce qui est un vrai confort. Pas d’écran tactile, c’est inutile, mais un écran aussi sans lumière, hyper confortable pour les yeux (on a vraiment l’impression de lire un livre)
La batterie, quand le kindle n’est pas en mode « je cherche un wi-fi comme un fou » tient longtemps, très longtemps. Quand la liseuse est connectée ou cherche la wi-fi, par contre, ça se vide vite. On ne la connecte que pour aller sur la boutique ou sur wikipedia, et, franchement, le branchement par usb est déjà tellement simple que je n’ai connecté le kindle qu’une seule fois, à l’ouverture du paquet 🙂
Les textes peuvent être classés par dossier.
Quand on arrête de lire un texte, à la prochaine reprise de lecture, on revient directement à la dernière page lue.
Quand on ne comprend pas un mot, on place le curseur dessus et on file vers le dictionnaire intégré.
Quand il y a une note de bas de page, on clique sur le numéro, et hop, on est amené vers la note.
La prise en main est vraiment hyper simple.
On peut agrandir les caractères (ou les réduire) et retourner l’écran en mode horizontal.
J’ai quatre genres de textes sur ma liseuse :
– Les livres achetés sur amazon, en format MOBI : bien foutus, pensés pour le numérique. Le gros hic : les (gros) éditeurs français les vendent à prix poche (8 €), du coup le kindle est intéressant pour les livres des petits éditeurs qui ont compris le truc, et pour les livres de amazon.us, qui lui les vend à 4€ en environ (c’est mon expérience sur Hunger Games par exemple)
– Les classiques (gratuits) repris sur amazon, en format MOBI : là, ça coince un peu, il y a souvent des soucis de mise en page, notamment dans les dialogues, et il faut jouer avec la taille des caractères ; le texte n’est pas forcément en format justifié. Mais quel plaisir de pouvoir relire quelques classiques 🙂
– Les textes numériques en format EPUB et PDF : j’utilise le logiciel libre Calibre pour convertir les texte en format MOBI. Ca prend, en gros, deux minutes, et encore. Pour les PDF, il y a toujours le souci de mise en page qui n’est pas fait pour le numérique, surtout par rapport aux fonds de page, numéros de page et illustration.
– Les textes en .doc : je convertis en PDF puis en MOBI. Et là, c’est FAN-TAS-TI-QUE !!!!!!! Certes, on ne peut pas vraiment faire de bêtas avec le kindle, mais quel temps gagné de pouvoir lire les textes n’importe où, sans avoir à les imprimer (ce que je faisais avant) J’ai pu relire les Bracelets en deux jours, pour pouvoir me remettre à bosser dessus ensuite, et là je vais y convertir les textes que je fais en bêta-off. Le gain de temps est génial.
Et là une petite pub pour Calibre, la Merveille des Merveilles, surtout parce qu’il est gratuit et hyper simple à manier.