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Archives Mensuelles: octobre 2011

Rendez-vous à Bagneux

Maintenant que c’est officiel, hop !

 

 

Qui n’a pas rêvé des étoiles ?
Franchir le seuil de la lumière, foncer dans l’hyperespace par des chemins secrets, filer au cœur des astres mourants, plonger dans la chevelure des nébuleuses et s’aveugler à la lumière des supernovae; rêver parce que le ciel au-dessus de nous est à la fois fascinant et irrésistible.
Mais la navette Atlantis a atterrit et ne repartira plus, le ciel nous est désormais fermé.
Huit auteurs ne se sont pas résignés, ils ont pris leur envol dans cette anthologie. Ils nous ont chanté les planètes lointaines et les océans spatiaux, les stations orbitales et les vaisseaux rutilants sous des étoiles inconnues. Ils ont peuplé l’univers immense de dangers incommensurables, d’aventuriers exceptionnels, d’intelligences artificielles, de civilisations oubliées et de trésors fabuleux .
Parce que, même si le ciel nous est fermé, il nous reste le rêve.
Et qu’on ne rêve jamais assez.

Sommaire :
Évaporation et sublimation – Anthony Boulanger, lauréat du prix Zone Franche
Le Bal des méduses – Célia Deiana
Les Tiges – Xavier Dollo
Sleeping Beauty – Anne Fakhouri
Le Gambit de Hunger – Olivier Gechter, lauréat du prix Zone Franche
Les Dieux bruyants – Laurent Genefort
Le Marathon des trois lunes – Aurélie Ligier
Space Khan – Olivier Paquet
Postface – Jeanne-A Debats et Jean-Claude Dunyach

Couverture (sublime et bien au-delà d’ailleurs) : Alexandre Dainche

Sur ce, je retourne à mes corrections. 🙂
En attendant je vous remets le lien vers l’article de Tinta que nous avions fait à la fin du « challenge DU » où pleins de grenouilles avaient pu écrire et bêta-lire des textes ensuite envoyés aux anthologistes : ici.

(L’anthologie sortira en février 2012)

 
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Publié par le 19 octobre 2011 dans écriture

 

Du 11 octobre 2012

 

Quelques nouvelles à donner, un peu au gré de l’humeur, plutôt bonne en ce moment, même si ça dépend des jours et des heures. Là, cet après-midi, je reviens d’une semaine parisienne, à me plonger dans le tumulte un peu puant, un peu bruyant, de cette ville, qui m’a permis de revoir quelques amies et mon très cher Lacordaire (je vais le voir à chaque fois que je suis dans la capitale, même si c’est pour passer juste 20 minutes au Louvre en payant plein tarif) Ce tableau me donne du courage, me donne le sourire, me remonte le moral. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça.
Et puis il y a eu la convention CoCyclics, la seconde à laquelle je participe.
La première avait été une plongée en milieu inconnu, vu que je ne connaissais que très très très peu de personnes. Cette fois-ci, c’était un peu moins tous des inconnus, d’autant qu’une bonne partie était venue à Epinal en début d’année. Mais on en sort quand même, malgré le gros manque d’heures de sommeil, remonté à bloc et prêt à abattre des montagnes. On a un peu le blues aussi, et on compte les jours jusqu’à la prochaine (Zone Franche, et Zone Franche, c’est loin !)
On en revient aussi avec deux arbustes de nouvelles, ce qui va me pousser à bosser un peu, vu que je compte faire de 2012 l’année où je publierai le plus de nouvelles possibles, histoire de mettre quelque chose de constructif entre moi et un possible projet romanesque (dans le genre j’envoie et j’attends, pas dans le genre j’écris et je tente de finir)

En attendant, ce deux prochains mois vont être très très pris. Je finis un projet ces prochains jours et j’en commence un autre à partir du 1er novembre. On y croit, mais je crois que je suis assez motivée pour y arriver, sauf catastrophe non attendue qui viendrait comme ça juste pour me gonfler.

 
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Publié par le 11 octobre 2011 dans écriture, CoCyclics, vie