Quatrième de couverture :
Mais que pouvait bien chercher Malko Swann cette nuit-là ?
Une overdose d’adrénaline, la sensation ultime, le sentiment de liberté ?
Pourquoi roulait-il aussi vite en pleine nuit sur une route de campagne étroite et sinueuse jusqu’à faire une chute de trente mètres en bas du pont du Diable ?
Atteint d’un traumatisme inexplicable, le musicien est désormais incapable d’entendre la musique. Mais il ne s’agit que du début de sa déchéance. Dans l’ombre, quelqu’un l’observe… quelqu’un qui veut jouer avec lui. Un jeu au goût de sang… Il s’engage alors dans un combat désespéré.
A lire si l’on aime :
– les romans policiers fantastiques dans la lignée de Stephen King
– les poètes maudits
– les flics roublards
– les esprits, les revenants, et autres joyeusetés métaphysiques pas sympathiques
A éviter si on recherche :
– une intrigue complexe
– de la romance
– une histoire sans violence ni sang qui gicle
Avis du lecteur :
Le Jeu de l’ombre serait ce que l’on pourrait considérer comme un roman « de plage » (de chaise longue, de gare, de voyages longs et de nuits d’hôtel), mais dans tout ce que la définition renferme de qualités. Une écriture simple et très efficace, des personnages immédiatement indentifiables et attachants, une intrigue sans fioriture mais qui réserve son lot de surprises. Si le dernier roman de Sire Cédric ne révolutionne pas le genre du thriller horrifique, il fait passer un excellent moment à ses lecteurs, distillant avec habileté mystères, ectoplasmes et hallucinations névrotiques. Une petite perle à consommer sans modération !
Le petit plus du livre :
L’envie irrépressible de s’installer à Carcassonne, au moins pour les vacances, et les seconds couteaux (le commandant Mira, clone de John Goodman, et le légiste Coutaud, gravure de mode, j’espère qu’on les reverra !)
Fraizochocolat 